Monde vénal et mal inspiré...
L'enveloppe n'était même pas belle. En guise de paraphe: un indéchiffrable "Joyeux Noël". Probablement écrit à l'arrache...
Mais ne crachons tout de même pas sur l'argent que l'on reçoit. Car l'occasion, elle, est belle, de voir que votre famille ne vous connait pas.
De Fêtes en Fêtes, je deviens cynique. L'an prochain, j'arrête; paraît que c'est mauvais pour la santé.
Surtout que je n'ai pas à être déçue des amis. Deux anthologies de poésies (J'en avais déjà une du sonnet du XIV au XVI ème siècle, en vieux français... Du lourd! Celui qui me l'a offert doit me passer ses notes de cours, afin que je déchiffre. Pour l'anecdote, il est en hypokhâgne...). Les faux-monnayeurs (déjà dévoré) de GIDE. Aya de Yopougon, une BD illustrée sur la vie colorée des quartiers d'Abidjan. Une boîte de Ferrerro, que je n'ai pas -incroyable mais vrai- encore touchée.
Bonne lecture, Obikin.
Et parce que le nouvel an n'est pas encore passé, j'ai le droit de vous souhaiter une bonne fin d'année.